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02 novembre 2012

Vernis sage

Sans titre 4.jpg- J’ai été à un vernissage d’œuvres contemporaines au Louvres, mercredi dernier. C’est ma copine Sophie qui m’avait obtenu les invitations. Tout le gotha de l’art parisien était là, et toute une brochette de bourgeois qui n’y connaissent rien. J’ai pris une coupe de champagne, et puis deux. Je faisais quelques commentaires avec Sophie, et une femme que je n’avais pas vue arriver derrière moi m’a approuvée. Alors on a un peu bavardé, et figure–toi qu'elle était la compagne de l’artiste !

- Ah oui ? Elle était comment ?

- Une grande rousse plantureuse, en robe de soirée. La trentaine pétillante. Elle s’appelle Florence. Son compagnon, Jeff, était entouré de toute une petite cour, dont il n’a pu se dépêtrer qu’à la fin de l’exposition où il nous a rejointes, Florence et moi. Florence lui a fait des éloges dithyrambiques de mon analyse, et j’avoue que ça m’a fait rougir. Ils m’ont invitée à prendre un verre chez eux, à deux pas du Louvres. Arrivés là bas, on a continué au champagne.

- Tu devais être pompette…

- Oui un peu. Florence et moi étions assises côte à côte sur un canapé, Jeff en face est parti à la cuisine, j’ai senti Florence très proche qui me frôlait le bras, je ne sais pas ce qui nous a pris, une impulsion, nous nous sommes embrassées.

- L'effet du champagne sans doute.

- Sans doute, oui. Je ne savais plus où me mettre quand Jeff est revenu avec les petits fours, d’autant plus que Florence me susurrait des mots à l’oreille, des mots tout en me caressant la nuque. Elle a même commencé à dégrafer ma robe.

- Et tu t’es laissée faire ? Ce Jeff, il devait être ravi, aux premières loges. Il était comment ? Séduisant ?

- La quarantaine, séduisant, oui, enfin, tu sais que je n’aime que toi mon amour…

- Je sais mon cœur, et tu sais que je ne suis pas jaloux, tant que tu n’aimes que moi. Quand est-il passé à l’attaque ?

- Quand je me suis retrouvée en lingerie. Il était très gros sous son pantalon. Florence l’a invité à se mettre à l’aise et il a ouvert sa braguette pour sortir son sexe. Il bandait dur.

- Ça t’excite ce genre de scène, n’est-ce pas petite salope ?

- Ça m’a excitée à mort. Florence m’a proposée de le branler pendant qu’elle le suçait. J’ai accepté.

- Et tu ne l’as pas sucé, toi ?

- Si après, on l’a sucé toutes les deux en même temps. Tu ne m’en veux pas mon chéri ?

- Hum… Ca s’est arrêté là ?

- Eh bien, on avait vraiment beaucoup bu, et on était tous très excités… alors à un moment donné, je me suis retrouvée à genoux sur la banquette, la poitrine face au dossier, je léchais les tétons de Florence qui était derrière cette banquette et qui me tenait par les épaules… Oh c’est bon… Tu vois, j’étais bien cambrée et ma petite culotte était tombée. C’est là que Jeff m’a prise par derrière.

- Oh !

- Ah, très fort, oui ! Et plus fort encore !

- Petite pute !

- Plus fort ! Il m’a littéralement défoncée ! Ah…

Couchée sur le ventre, jambes serrées, ses petites fesses tendues vers moi, j’enserre ses hanches entre mes genoux et je la prends, fort, presque violemment, tandis que son histoire se perd en onomatopées.

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