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23 août 2007

Erreur de jeunesse

Au hasard des liens, je suis tombé sur une note amusante qui m’a rappelé de vieux souvenirs. On en fait des conneries quand on est jeune, et avec l’âge ça ne s'arrange pas…

Un jour, une fessue me tenta l’impudeur. Cela faisait quelques jours que je l'avais repérée. Elle était assez grosse, mûre mais encore ferme, et sans doute bien juteuse. Belle à croquer, bonne à baiser. J’attendis la bonne occasion, qu’il n’y ait personne dans les parages pour saisir ma proie et m’isoler avec elle. Je n’y allai pas par quatre chemins: Je pris mon opinel, je le lui enfonçai dans le trognon, et je lui évidai le fondement en un tournemain ! La salope coulait déjà sur mes doigts. Son cul ouvert à ma mesure, je m’enfermai avec elle dans les toilettes. En moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire, j’avais la culotte aux chevilles. Je bandais comme un gamin de seize ans, avec une perle de sève printanière au bout du gland, prête à couler encore et plus encore. Je m’assis sur la cuvette, face à la chasse, cuisses écartées, et je plantai ma victime sur mon pieu comme un bonnet phrygien au quatorze juillet de l’an I. Il n’y eut pas de feu d’artifice. Non seulement elle était glacée - elle sortait du frigo - mais impossible de lui mettre plus que le bout de ma queue : déjà je cognais au fond ! Moi qui croyais m’envoyer en l’air avec une bonne grosse un peu mûre, j’avais l’impression de me taper une petite pucelle frigide ! Je la forçai. Ce fut le drame. Ses chairs éclatèrent sous la pression, s’ouvrirent entre mes mains et coulèrent tout au long de ma hampe jusqu’au fond de la cuvette. À la fin, j’en étais réduit à me masturber avec ses bouts de peau pendant que ma mère tambourinait à la porte : "t'es pas malade ?"

Quand j’étais adolescent, j’avais des fantasmes primeurs. Après tout, pourquoi n’y en aurait-il que pour les gourmandes de gros concombres ? Mais les poires, vraiment, ça ne tient pas ses promesses.