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09 mai 2007
Plongeon
Attention, c'est hard! Si vous n’avez pas 10 minutes tranquilles devant vous pour lire ça, ami lecteur, revenez plus tard.
C’est bon ? Prêt pour les émotions fortes ? Attachez votre ceinture ! Maintenant jouez le podcast et lisez lentement. Le morceau dure 9 minutes, assez pour vous raconter ma plongée du jacuzzi à la plonge...
Il est seize heures et j’ai encore les mains dans l’eau. À ma gauche, les assiettes sales. À ma droite, les propres. Bientôt ce sera le tour des tasses à café et des petites cuillères. Une bonne vingtaine, correspondant au nombre de mes amis réunis. Ils sont tous là, j’entends leurs rires d’ici, de ce recoin où je fais la vaisselle. Cependant, je ne reconnais plus très bien leur voix. Dans mon esprit, elles se sont comme dissociées de leur visage dont je me souviens encore, ou de leur prénom qui me rappellent toujours, mais toujours un peu moins, mes plaisirs futiles. Les tasses arrivent. Lib les dépose au bord de l’évier avant de retrouver mes amis. Elle va leur servir sa farigoule dans des verres à cognac, et puis sa dernière histoire, en avant première, avant de la publier sur son blog. J’espère que mes amis lui feront bon accueil. Une petite standing ovation serait idéale. Il faut dire que la suite de ma journée en dépend.
Je plonge les tasses dans l’eau avant que le sucre ne colle au fond. Toutes sauf trois sur lesquelles il y a des traces de rouge à lèvre. Je les regarde d’un peu plus près, espérant reconnaître l’empreinte de lèvres que j’aurais baisées. Je jette un bref coup d’œil vers l’entrée de la cuisine pour m’assurer que Lib ne revient pas, et je goutte une des tasses. Je colle mes lèvres juste sur la trace de rouge, comme un chien abandonné mordille un os trouvé dans une poubelle dans l’espoir déçu de recueillir sur ses babines le goût du temps où il était aimé. Ça n’a qu’un goût de cosmétique. Là bas, dans la salle, quelques applaudissements affables ponctuent la lecture de Lib. Elle ne leur a pas servi son meilleur cru. D’ailleurs les verres de farigoule reviennent à moitié pleins. Sans même tourner la tête vers elle, à la violence froide du cliquetis des verres au bord de l’évier, je sais que Lib est en rogne. Je ne les plonge pas dans l’eau. Ils attendront là, jusqu’à ce qu’elle les vide. Un à un.
J’ai entendu la porte se refermer. Mes amis sont partis. J’écoute avec appréhension les pas de Lib qui revient vers la caisse. Elle tapote fébrilement sur sa calculette, et puis elle soupire en venant lentement vers moi. Je crains le pire.
- Tes pâtes étaient trop cuites, mon bichon.
- Ah... Je suis désolé, ce n’est pas facile depuis que le sixième feu est mort...
- Je ne veux pas le savoir, tu prends tes dispositions c’est tout. Que ça ne se reproduise pas ! menace-t-elle en s’enfilant le premier verre de farigoule.
- Oui Lib.
- Oui Lib... Oui Lib... C’est tout ce que tu sais dire ? Je t’avais dit que mon restaurant n’est pas prévu pour les groupes !
- T’es quand même bien contente que mes amis y organisent des déjeuners de temps en temps, non ?
- Tes ââââmis... tes ââââmis... parlons en de tes ââââmis! Qui t’est venu en aide quand tu t’es fait virer de ta boite pour faute lourde parce que tu dragouillais tes fameuses amies sur le net ? Et qui t’a recueilli quand c’est ta femme qui t’a lourdé parce que tu ne t’étais pas contenté du net ? QUI ? éructe Lib qui ponctue sa question par le second verre de farigoule. Cul-sec.
- C’est toi Lib...
- Et qu’est-ce que j’ai en compensation ? Un plongeur qui me casse la moitié de ma vaisselle...
- Oh! Au début, plus maintenant...
- Un cuisinier qui fait trop cuire mes pâtes quand elle ne sont pas trop salées...
- J’ai été débordé, tout le monde a choisi un plat différent...
- Et un homme de ménage pas foutu de nettoyer la salle convenablement après le service ! maugrée-t-elle en sirotant le troisième verre de farigoule.
- T’oublies que je suis bénévole ! Ça fait trois mois que je travaille ici, et tu ne m’as pas payé...
- Bénévole ? Nourri, logé, blanchi ! T’appelles ça du bénévolat, toi ? Tu sais ce que ça coûte un loyer à Paris ? Tu veux faire un stage chez mes potes SDF ? hurle-t-elle en brandissant la bouteille de farigoule aux trois-quarts vide.
- Oh non Lib, je t’en prie... Dis-je en la regardant un instant dans les yeux, avant que mon regard ne fuie la lueur salace qui brille déjà dans le sien.
Je prends les verres à cognac qu’elle a vidés, histoire de me donner une contenance, et je commence à les laver. Mais elle s’est plantée derrière moi maintenant. Tout contre moi. Elle achève la bouteille de farigoule. Au goulot. Je sens son haleine lourde avant d’entendre sa voix râpeuse qui se veut enjôleuse.
- Alors mon bichon, il va peut-être falloir songer à me remercier.
- Merci Lib...
- Mieux que ça mon bichon, glousse-t-elle en me serrant contre elle par derrière.
Sans relâcher sa prise, elle déboutonne la ceinture de mon pantalon, et elle glisse sa main dans mon slip.
- Ben alors mon Bichon, ta nouille est trop cuite ?
- Lib, j’ai les mains dans l’eau et...
- Tsss... tsss... tsss.... Bien loin est le temps où Vagant se vantait de ne pas retirer son pantalon sans que ne jaillisse une érection. « Comme un diable qui sort de sa boite », qu’il disait le Vagant. Tout se perd ma p’tite dame, moi j’vous l’dit ! Claironne-t-elle avant de faire tomber le pantalon sur mes chevilles.
- Ma p’tite dame ?
- T’es devenu une vraie gonzesse Vagant. Même pas une gonzesse, une serpillière. Rien dans le froc et pas de chatte à prendre. Un eunuque comme on dit dans la littérature. Tu devrais le savoir, Vagant, toi qui citait Montesquieu à tout bout de champ.
- C’est juste une petite panne Lib. J’ai pas trop le moral...
- Soit tu bandes, soit tu me donnes ton p’tit cul Vagant. T’as le choix ! menace Lib avant de lécher les dernières gouttes au goulot de la bouteille de farigoule, à moins que ce soit pour mieux me la mettre.
- Lib, je t’en prie, dis-je d’une voix suppliante.
Inflexible, Lib glisse le goulot de la bouteille entre mes fesses. Je sens le verre dur et froid buter contre mon petit trou crispé. Pourvu qu’elle ne casse pas la bouteille ! J’essaie de me détendre en minaudant des fesses pour tenter de l’amadouer. Si seulement je pouvais bander. Lib glousse, ça a l’air de l’amuser, ça va peut-être finir par la détendre. Elle me triture les couilles avec l'autre main. Ses ongles me blessent un peu. Si seulement je pouvais bander. Il faut que je fasse diversion.
- Je vais te sucer Lib !
- Si je veux ! Tu vas déjà me laper le cul comme la chienne que tu es. Si tu le fais bien, t’auras le droit de me sucer le clito.
- Merci Lib...
- Tu me prends pour une idiote ? Tu t’imagines que ton petit cul va m’échapper ? Pose la bouteille par terre et assieds-toi dessus !
- Quoi ?
- Assieds-toi dessus, je te dis! Que je vois le goulot de cette bouteille te percer le cul pendant que tu suces le mien avec délicatesse !
Elle me tend la bouteille et elle attrape la cravache avec laquelle elle me menace régulièrement. Je pose la bouteille par terre, je m’accroupis dessus, et mon anus vient à nouveau buter contre le goulot dur et froid. Lib me regarde avec un sourire sadique tout en déboutonnant son jean qu’elle laisse glisser à ses pieds, suivi aussitôt de sa petite culotte. Elle se retourne et, souple comme un serpent, elle se penche en avant jusqu’à ce que sa tête apparaisse à l’envers, entre ses genoux. Elle est aux premières loges. Impossible de lui échapper. "Lèche !" ordonne-t-elle d’un ton sans appel.
Lib a un corps élancé à la croupe somptueuse. Ronde, évasée juste comme il faut, on dirait qu’elle a été taillée pour faire de la pub weight watcher. Y faire courir ma langue n’est pas déplaisant. J’adorais ce genre de truc, avant. D’ailleurs ça finit par m’exciter un peu, je le sens, ça va venir. Si seulement il n’y avait pas cette maudite bouteille qui me fait mal. J’ai mal aux cuisses à force de résister à mon propre poids. Je vais finir par m’empaler dessus.
- Pas mal Vagant. Si t’as un poil dans la main, t’as toujours la langue bien pendue. Et la bouteille, ça avance ?
- Laisse moi te lécher la chatte Lib, je t’en prie, tu verras, ça va te plaire.
- Pas avant d’avoir vu ton cul ouvert à travers le verre de cette bouteille !
J’essaie de me détendre, mais rien à faire, je suis trop crispé. Il faut que je me concentre sur ses fesses à elle, il faut que je la désire, ou que je pense à une autre, ou à n’importe quoi pourvu que je bande. Avant, avant, tout aurait été autrement. Avant ça m’aurait excité de la lécher dans sa cuisine et de la baiser sur l’évier. Il faut juste que je me dise que rien n’a changé pour que je bande comme avant. Rien n’a changé! J’ai toujours un bon job bien payé qui me laisse le temps de séduire de jolies filles avec lesquelles je me prélasse dans les jacuzzis d'hôtels de charme. Elles aiment ça, être traitées comme des reines, et puis baiser comme des bêtes. J’excite Lib parce que j’ai la réputation d'être un bon coup, alors elle m’a invité à lui en donner, un petit coup de main dans sa cuisine. Moi, j’aime faire plaisir, c’est ma raison d’être. Donner du plaisir. Alors je lui lape le cul parce que c’est mon bon vouloir, mon bon pouvoir. Après elle n’en pourra plus. Elle sera asservie à ma langue, elle ne pourra plus s’en passer, et elle m’aimera. Oui, elle m’aimera, comme les autres, comme toutes les autres qui sont dingues de moi, et je régnerai sur elle, comme je règne sur elles toutes, asservies à mes mains qui les fouillent, à ma bouche qui les baise, à ma langue qui les suce, à ma queue qui les prend et qui les fait jouir. Ah, elle n’y a pas encore goûté à ma queue, elle ne sait pas ce que c’est que de l’avoir dans la chatte, dure, raide comme une saillie, elle ne sait pas ce que c’est que de se faire sillonner l’entrecuisse par mon soc de charrue, elle ne sait pas ce que c’est que de se la faire remuer en profondeur, se faire retourner le ventre... Elle ne sait pas ce que c’est que de se faire prendre par Vagant. Attends un peu Lib, ce n’est pas pour rien que je te lèche le petit trou. Attends donc, tu ne perds rien pour attendre, je vais te la mettre bien profond, bien fort, bien plus fort que cette putain de bouteille... Non ! Pas de bouteille ! Pas penser à la bouteille qui me fait mal, non, pas la bouteille, sinon je ne vais plus bander... Je te lèche le petit trou Lib, parce que c’est ma destinée. Je te lèche l’anus parce que je vais t’enculer !
- Alors Vagant, on dirait que la farigoule te donne des forces ? Il faudra recommencer !
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"Ami" lecteur, Si vous voulez comprendre comment tout cela m'est arrivé, comment je me suis retrouvé dans cette situation, c’est là…
07:45 Publié dans Fictions | Lien permanent | Commentaires (21) | Tags : domination, sex toy, cunnilingus, littérature
Commentaires
Le mercredi 09/05/2007 à 08:13 par Lib :
Dis donc, je me reveille. Par habitude, je viens chez toi, par reflexe presque...Et ZTAC...J'en ai avalé mon café de travers.
C'est gore, j'adore.
Dis donc, ça me fait penser à une chose. L'autre soir, avec l'ami CUI, nous parlions du blog comme support de drague. Je lui disais qu'il m'était difficile de draguer (non, j'aime pas ce verbe), de harponner à travers mon blog. Et bien, Vagant, je te remercie aujourd'hui de me rendre la tache encore plus difficile. :-)
Vous qui passez, je ne suis que tendresse. Vive tout au plus.
Le mercredi 09/05/2007 à 08:25 par Ysé :
Pour un plongeon, c'est un plongeon de l'extrême! Je ne savais pas que tu pratiquais le "high dive".
Dans cette histoire-fiction je crois que pour que ça marche, il vaut mieux ne pas connaître Lib autrement ça manque de crédibilité.
Quant à Vagant, en cassant le mythe, ne le renforce-t-il pas plus encore?
L'homme sorti grandi d'imaginer sa déchéance?
En tout cas, ce texte oscille entre le burlesque et le tragi-comique. Mais sinon je crois qu'il y a des choses très justes sur la violence (pas que physique) des rapports de domniation.
Bon alors je te garde une bouteille au frais, mon bichon? ;-)
Le mercredi 09/05/2007 à 08:29 par Ysé :
Lib, marrant j'ai eu cette conversation avec CUI, qui me disait que les hommes n'avaient pas de mérite à attirer et à draguer, vu que la blogosphère était majoritairement peuplée de personnes à chromosomes sexuels XX... Voilà pourquoi on harponne moins facilement.
Le mercredi 09/05/2007 à 09:34 par Comme une image :
Bon, j'ai lu un peu trop vite mais c'est que j'ai du boulot en retard (j'ai dit boulot, pas vaisselle).
Tu t'imagines comme ça, dans quelques années, quand tu auras pris de la bouteille ?!
Le mercredi 09/05/2007 à 10:07 par Six à Ysé, Lib et Vagant :
à Vagant : Je vais aller voir ce lien mais avant je tente de reprendre mon souflle, merci pour ce récit, Vagant, j'ai beaucoup aimé, très drôle ou plutôt tragi comique comme dit Ysé, et puis avec la musique, je vois bien ça en scène de film genre nouvelle vague . Bizarrement, et je ne saurais dire précisement pourquoi ce matin, je trouve à la différence d'Ysé que le rapport de domination est inversé dans ton récit....
à Ysé et Lib: je confirme et m'associe, j'ai même (c'est dire si j'ai faim) ouvert un blog à quatre mains avec un ami célibataire, lui aussi: les commentaires ne viennent que de filles, c'est désespérant.
Six
Le mercredi 09/05/2007 à 11:26 par sapheere :
même dans le cynisme et l'auto-dérision t'es toujours aussi craquant Vagant, j'adoooore !!! encore!! encore !!!
Le mercredi 09/05/2007 à 12:32 par amIwrong? :
Il est toujours intéressant d'avoir les deux versions de l'histoire... ;-)
Le mercredi 09/05/2007 à 13:52 par Lib pour Six et YSé :
Vous avez pas idée comme vos témoignages me font plaisir.
Je croyais que ça venait de moi. :-)
Je me suis même dit : "si c'est la tronche qui coince (mettons que ce soit la tronche, et là, j'essuie mon égo avec du sopalin), laissons leur la possibilité de rêver" alors j'ai enlevé mes photos. Toujours rien. Pourtant, y a de sacrés appels du pied dans certains de mes textes.
Et CUI, CUi, il parle des publicités qu'il voit sous les abri bus (bon, je suis un peu de mauvaise foi) et pof...ça tombe. Comme la pluie début mai. Merdouille.
Le mercredi 09/05/2007 à 15:19 par secondflore :
L'histoire d'une libération, en somme. Un joli rebondissement, un billard sans bande mais avec une bande-son en parfait crescendo. Bravo !
(PS - j'ai le droit d'ajouter moi aussi que Lib n'est que tendresse (aussi) ? ;-)
Le mercredi 09/05/2007 à 20:14 par Six à Lib :
Peut-être C.U.I a-t-il aussi une botte secrète? Si tel était le cas, ne conviendrait-il pas de fomenter un plan machiavélique pour la lui faire avouer?
Six
Le mercredi 09/05/2007 à 21:09 par Flore :
Ce jour est à marquer d'une pierre rouge ... je crois que j'aime ... le jazz...
Le mercredi 09/05/2007 à 22:57 par Un mot apéro :
Une bouteille de farigoule qui devient anusette : quel drôle de "cock-tail" !
Avertissements aux lecteurs:
- à ne pas utiliser pour soigner les hémorroïdes...;
- une rectoscopie façon Lib/Vagant, ce n'est pas remboursée par la "sé-cul";
- n'oubliez pas de mettre un préservatif sur le goulot la prochaine fois que vous boirez à la bouteille...;
- ne sabrez pas cette dernière si vous tentez la même expérience avec du champ Choët et Bandon.
PS Le morceau (pas de verre) de Jason Moran était bien choisi comme musique de fond pour ce plongeon. C'est du Jazzcuzzi.
Le jeudi 10/05/2007 à 06:55 par pateric :
Taratata ! Les sucettes à la farigoule ! ça le fait pas ça !
Ceci dit, sensible aux rythmes, je me suis efforcé de re-lire dans le tempo : d'arriver aux apothéoses dans l'unisson de :
- Alors Vagant... Il faudra recommencer ! -
au sommet des applauds... Pour laisser mourir leurs decrescendos
- Je sais c'est "scendi" qu'on dit quand on est bien "eh! du K !
Mais quand on a mal : Ahh ! du Q : maïs ne se van en trop (comme on dit dans mon pays)
Autrement, je me cassais les neurones à vouloir trouver l'adresse du resto de Lib (je souhaitais aussi y faire un stage... Un stage d'approfondissement au dosage des épices... J'aime cuisiner, j'aime ce qui a le goût épicé... Mais souvent l'on me reproche d'avoir "la main lourde"... Alors, après avoir lu Lib dans ses "échappées belles", je croyais qu'à la "douceur de ses emportements" j'apprendrai à doser... Mais maintenant, après le élucubrations de Vagant, après l'érection des libations... Des LIB à SION , je crains le supplice du calvaire, je crains la Gôle Go Tâts (Golgotha)
Quoi, que... J'aime bien lorsque, plongeant mes mains dans les mousses de l'évier, mon "vulcain de charme" se glisse dans mon dos pour me "titiller le pipeau". Et davantage encore lorsqu'elle en joue un morceau...
Je frotte, gratte, récure, jusqu'à user la céramique, affûter la tranche des couteaux... J'adore faire la vaiselle ! Alors, c'est le "Bosch" qui peste :
- 12ans d'âge et toujours vierge de tout dépannage ! -
- J'adore la douce force des "étreintes arrières !" - Que je lui réponds!
Et puis, c'est normal : j'aime tant lui chanter à ma forgeronne : - Les mains d'une femme dans la farine ! -
Le jeudi 10/05/2007 à 12:37 par seconde :
Ce récit n'est il pas un fantasme ??? hum
en tout cas vagant j'ai adoré
Le jeudi 10/05/2007 à 17:16 par Lib à Six :
Excellente idée ! J'attends tes suggestions. Je peux le coincer entre Chatelet et Maubert un de ces soirs...Peut-être que Vagant, dont je squatte l'espace pardon, pourrait nous prêter main forte ou des instruments de tortures...Hum ?
J'apporte la bouteille de farigaule ?
(c'est pas comme ça que je vais réhabiliter mon image, moi)
Le jeudi 10/05/2007 à 18:54 par Vagant :
- Ma chère Lib, je te rends peut-être la tâche un peu plus difficile auprès des éventuels amoureux fleur bleu, mais auprès des amateurs S/M tu vas avoir la cote ! Plus sérieusement, je crois que le blog intime, de par sa nature narcissique, correspond à un profil psychologique plus féminin que masculin. Il n’est donc pas étonnant que cette population soit essentiellement féminine. Pour que les hommes parviennent à intéresser les blogueuses, il est préférable qu’ils tiennent eux aussi un blog. Hors cela s’avère être aussi routinier que de tenir un intérieur, ce qui traditionnellement n’est pas le fort des hommes. Voilà mon interprétation socio-psychologique à deux balles. Inutile de violenter CUI avec ta farigAule !!!
- Oui maîtresse Ysé, mais avec un petit goulot la bouteille, je suis étroit.
- Honnêtement CUI, j’ai un peu écrit ça pour conjurer un sort bien peu enviable !
- Six, j’aimerais que tu m’en dises un peu plus sur le rapport de domination inversé.
- Encore encore, Sapheere ? Mais tu veux ma peau !
- AmIWrong, tu peux constater qu’en quelques semaines après mon embauche, je suis tombé bien bas… ;)
- SecondFlore, je suis honoré de votre visite et de votre commentaire élogieux ! Merci !
- Flore, tu n’aimais pas le jazz ? Ce morceau là est assez particulier. J’ai dû l’écouter en boucle pour écrire un texte aussi déjanté.
- Un mot et Pateric, vous vous êtes bien trouvés !
- Seconde, quel plaisir de lire ton commentaire ! Pour la petite histoire, ami lecteur, Seconde = nathalie (http://extravagances.blogspirit.com/tag/nathalie)
Le vendredi 11/05/2007 à 17:58 par seconde :
cher vagounet chéri,
sache que cette soirée fut pour moi aussi LA soirée ... et pourtant y'en a eu d'autres depuis mais... (nostalgie quand tu nous tiens ;))
bisous doux l'ami
ps : il parait que je vois sapheere ce soir ;) je pense que ton cas va être discuté :D...
Le vendredi 11/05/2007 à 22:14 par Comme une image :
@ Six, Lib & Ysé > Je ne vois pas pourquoi vous vous obstinez à causer de mon cas chez Vagant qui, non seulement, pourrait trouver ombrage à ce qu'on parle de la méthode CUI chez lui (piou piou = coucou ?), mais qui, de surcroît, affiche un compteur de conquêtes largement supérieur au mien alors qu'il souffre du même « handicap » !
@ Lib > Cela dit, je pense que je pourrais te glisser en aparté quelques idées pour améliorer ta situation, si c'est vraiment la misère. Après, auras-tu envie de les mettre en pratique ?
@ Vagant > Tu nous diras si tes oreilles auront sifflé fort ce soir... Heureux homme, présent même absent.
Le dimanche 13/05/2007 à 18:51 par Ysé à CUI :
Ne fais pas ton modeste. Quant à Vagant il préfère être à l'ombre des jeunes f... Euh je n'ai rien dit.
Mais au fait c'est quoi la méthode CUI? Comment faire pour rattraper nos retards de compteurs? C'est parce que j'ai choisi l'option heures creuses et heures pleines?
Le mardi 15/05/2007 à 23:25 par Vagant :
CUI & Seconde, mes oreilles n’ont même pas sifflé, et pourtant…
Ysé, tu as tout à fait raison. Il sera toujours temps de rêvasser aux Madeleines… de Proust !
Le mercredi 16/05/2007 à 22:20 par Six à Lib et Vagant :
@Lib: je suis donc à une heure trente du point d'embuscade, il va falloir peaufiner le plan, mais j'ai bon espoir....
@vagant: vous êtes un chenapan, ne suis je pas la preuve vivante qu'on peut pratiquer le BDSM et être extrêmement fleur bleue? je ne voyais ici la domination inversée que dans le style (burlesque?)de la note, j'ai plus l'habitude de récits de soumis et de soumises à plein temps, donc évidemment ce regard joueur m'a donné moult idées....je dirais juste, sinon, je serais trop longue, que selon mon expérience, c'est bien les désirs de qui est "soumis(e)" qui sont mis à l'épreuve des limites dans une séance.
Six