Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

« De la censure (2) | Page d'accueil | Nuit d'ivresse »

23 janvier 2007

Rendez-vous au Moon City

medium_mooncity.jpgVendredi dernier, j'ai profité d'un trou (pas de mauvais jeux de mot s'il vous plait) inattendu dans mon emploi du temps pour explorer le nouveau sauna parisien qui fait tant parler de lui: le Moon City. Je savais que quelques libertin(e)s devaient y passer, dont Georges et Madeleine, et je suis arrivé sur les lieux dans la soirée, aux alentours de 22h30.

 

L'entrée est impressionnante et l'accueil chaleureux. Moyennant 38 euros plus 2 euros de caution pour les clefs du vestiaire, l'homme tout de blanc vêtu à l'entrée m'a remis une serviette, un paréo, un ticket pour une boisson et des claquettes. J'ai été me déshabiller au vestiaire (unique pour les hommes et les femmes actuellement), et en avant pour la grande aventure. En faisant un premier tour, je me suis cru dans un conte entre "sherazade" et "Ali baba et les 40 voleurs" mis en scène par un décorateur de chez Disney Land: Au rez-de-chaussée, une accueillante et fort jolie barmaid - spécialiste mondiale du Mojito - m'a accueilli dans un vaste salon aux tables basses et aux banquetes confortables. J'ai monté des escaliers - Les fameux escalators recyclés décrits par Georges - pour arriver au premier étage où j'ai trouvé un sauna (pas très chaud, pour une dizaine de personnes au maximum), un hammam (plus chaud mais malheureusement assez petit) avec des douches individuelles, et une dizaine de coins câlins privatifs. Sur les murs, des écrans diffusaient des clips glamours ce qui,  avec la décoration d'inspiration orientale, conférait aux lieux une ambiance plutôt select. Je suis redescendu au rez-de-chaussée pour découvrir le grand jacuzzi, et un autre salon avec un grand écran qui diffusait un film d'aventures. J'ai alors donné à la barmaid ce qui restait de mon ticket pour la boisson après le passage sous la douche du hammam, et j'ai retrouvé Mr et Mme Vintage qui descendaient du vestiaire. Nous avons passé le reste de la soirée ensemble, à papoter sagement, comme tout le monde je crois.

 

Si vous vous attendiez, ami lecteur, à lire le récit d'ébats de haute voltige, vous pouvez vous arrêter là. Il ne s'est rien passé ce soir là, tout au moins en ma présence. La seule coquinerie a consisté à deviner qui étaient Georges & Madeleine. Peu de personnes pouvaient répondre au signalement: une dizaine d'hommes seuls et une demi-douzaine de couples étaient perdus dans un club pouvant accueillir 150 personnes dont 20 dans le jacuzzi. Lorsque la femme que je soupçonnais être Madeleine vint s'asseoir à côté de moi dans le sauna, j'ai commencé à deviser sur la question avec M. Vintage:

 

- Si c'était Madeleine elle devrait réagir, dis-je assez fort pour être entendu par cette jolie femme.
- La Madeleine de Georges, répondit-il sur le même ton ?
- Ce n'est pas plutôt la Madeleine de Proust ?
- Oui c'est ça, Georges Sand et Madeleine Proust !

 

Sur ce, la jeune femme en question s'est levée et elle a rejoint son partenaire qui l'attendait à l'extérieur du sauna. Vintage et moi en avons déduit qu'elle ne s'appelait pas Madeleine. L'hypothèse qu'elle ait fui des gens aussi spirituels ne m'est pas venue à l'esprit. Quoique...

Commentaires

Le mardi 23/01/2007 à 10:18 par Georges :

Avec un peu de retard, je viens de faire paraître mon récit (ma version des choses) ou plutôt ma description, car - et c'est un point commun entre nous deux - il ne s'est rien passé à Hiro... pardon, à Moon City ce soir-là. Cela n'enlève pas d'intérêt à votre récit, et peut-être au mien (mais cela j'en doute plus!). Merci de cette prose claire et éclairante. Et encore hélas que nous n'ayons pu nous croiser là-bas!
G.

Le mardi 23/01/2007 à 15:56 par Sapheere :

je suis surprise d'apprendre qu'on a usurpé mon titre, la spécialiste mondiale du mojito, jusqu'ici c'était moi ;-)

Le mardi 23/01/2007 à 16:03 par Vagant :

Votre récit est plus intéressant que le mien car votre regard est neuf. J'ai déjà fréquenté ce genre d'endroit et je ne mentionne donc pas la nudité car elle est de mise dans ce type d'établissement. J'ai été en revanche agréablement surpris de me voir proposé un paréo plutôt qu'une serviette éponge à nouer autour de ma taille, ainsi que par les claquettes qui évitent de marcher pieds nus là où d'autres ont marché en chaussures. Comment introduire de l'érotisme là où il n'y a que la crudité des corps, telle est la difficulté pour ce genre de club.
En vérité, je me demande si nous ne nous sommes pas croisés (habillés) dans l'escalier qui mène au vestiaire !

Le mardi 23/01/2007 à 16:08 par Vagant :

Hello Sapheere ! La prochaine fois que tu passes à Paris, tu devrais aussi passer derrière le bar pour donner une leçon de Mojitos à la charmante barmaid. C'était en effet la première fois qu'elle tentait de faire un cocktail, et notre ami Vintage s'est improvisé dégustateur. Le cocktail lui a d'ailleurs été offert.

Le mardi 23/01/2007 à 16:19 par Madeleine :

Non, certes, si j'avais été là, je n'aurais pas fui, cher Vagant ! Nous avons également passé la soirée (enfin, pour être honnête, l'heure car nous ne sommes restés que de minuit à une heure environ) à essayer de deviner qui étaient les forumeurs (je n'aime pas trop ce mots mais bon..). Comme nous n'avons pas vu plus de deux personnes ensemble, hors un "trio" composé d'une jeune femme et de deux jeunes hommes, trio intéressant d'ailleurs, dont j'aurais bien aimé connaître la suite des aventures ;-)), nous en avons conclu que ces forumeurs avaient changé de projet peut-être en cours de route.
Nous nous serions croisés ? J'avoue ne pas me souvenir de ce moment dans l'escalier. J'étais habillée en jube noire avec des bas résille et un bustier en dentelle bordeaux (c'était bien sûr absurde puisque nous devions nous déshabiller illico !).

Le mardi 23/01/2007 à 16:48 par Vagant :

Je me souviens juste d'un couple d'apparence sympathique, et aux vêtements sombre; lui m'a semblé bel homme, assez grand; elle jolie, plutôt petite, cheveux frisés. Ils semblaient rire sous cape comme des écoliers qui s'apprêtent à faire l'école buissonnière.
Vous avez sans doute croisé Vintage et son épouse qui étaient encore au bar lorsque je les ai quittés. Ils attendaient Araldite78 et son épouse qui, sans doute, n'ont pas pu venir.
Je pense que nous aurons l'occasion de nous croiser à nouveau en d'autres circonstances...

Le mercredi 24/01/2007 à 00:05 par Madeleine :

Je ne suis pas petite et je n'ai pas les cheveux frisés... il faudra donc attendre une autre fois pour avoir l'occasion de nous croiser !

Le mercredi 24/01/2007 à 12:14 par LetP :

Madeleine, il n'est jamais absurde de bien s'habiller, même si c'est pour se dévêtir rapidement... il y a tout de même un avant, pour l'autre et pour soi, que ce soit pour se sentir soi même ou pour se dissimuler. On se gausse parfois du dress-code des clubs "libertins", mais c'est une des dernières politesses qu'on y cultive, alors qu'on la préserve ! nous osons souhaiter que Georges prend autant soin que vous de sa parure... Nous aurions bien des anecdotes amusantes à racconter, comme celle de cet homme seul (encore un !) que nous avons vu en club avec des chaussures de montagne et un pull irlandais... on lui avait sans doute dit que c'était un endroit "où on grimpe".

Puisque nous parlons chiffons, Madeleine, au risque d'être indiscret, mettez vous des bottes pour aller en club ?

aux plaisirs
LetP

Le mercredi 24/01/2007 à 12:38 par Georges :

Vos remarques sont très justes, Pierre: oui, je prends soin de ma "parure" quand je sors. Vous n'imaginez pas le temps que l'on prend pour s'apprêter, Madeleine et moi, avant une sortie en club - rare je vous le rappelle - (c'est toujours un moment délicieux, plein de promesses, d'appréhensions - ceux qui l'ont vécu, savent de quoi je parle!)
G.

Le mercredi 24/01/2007 à 15:54 par Comme une image :

@ Sapheere > Je ne sais pas si vous proposerez à Vagant une dégustation de Mojito mais si tel était le cas j'adorerais être convié (encore qu'en matière de rhum ma préférence aille au Ti'punch, mais je ne refuse jamais un mojito !)

@ LetP > Si c'est la dernière des politesses de ces lieux, c'est bien dommage. Je n'en ai qu'une faible expérience, mais je reproche à ces "dress code" l'uniformisation de l'érotisme. Une femme n'est pas forcément plus bandante (pardon : désirable) en jupe qu'en pantalon ; un homme n'est pas forcément plus sexy en costume qu'en jeans, etc.

@ Vagant > Alors, que faut-il retenir de cette visite finalement ? Beaucoup de bruit pour rien ? Y retourneras-tu avec plaisir ? perplexité ?

Le mercredi 24/01/2007 à 17:55 par Vagant :

Je suis globalement d'accord avec CUI, l'uniformisation de l'érotisme en milieu libertin est finalement ennuyeuse. En ce qui me concerne, je ne trouve rien de plus érotique que la transgression. Tout comme la nudité n'est pas transgressive lorsqu'elle est la norme, le costume de la parfaite petite salope à la mode du Cap d'Agde ne m'excite pas particulièrement non plus. Je préfère de loin une tenue bien sage avec une lueur coquine au bord du regard. Néanmoins, cette apparente sagesse peut être parfaitement étudiée. Elle ne signifie pas négligence, et l'apparente transgression s'accommode fort bien de l'élégance décrite par Madeleine, de dessous chics et chocs, ainsi que d'une hygiène irréprochable... Je rêverais par exemple d'y trousser une sénégalaise en pagne trois pièces resplendissant ou une fliquette en tenue d'apparat.
En ce qui concerne le Moon City, je ne suis pas sûr d'y retourner. Je leur ai téléphoné hier soir pour leur demander s'il serait possible d'y organiser une soirée privée, ou bien s'ils envisageaient des soirées exclusivement réservées aux couples: La réponse a été un "non" irrévocable. J'ai eu au téléphone "le patron" en personne - je crois bien qu'il m'a répété sa position 3 fois en deux minutes de conversation - et il ne veut pas changer sa politique d'un iota. Si on projette déjà du porno au premier étage comme j'ai pu le lire sur un commentaire de NOLDA, ce club a probablement pour vocation de devenir le lieu de rendez-vous des "amatrices" de gang-bang. Je ne serais guère surpris qu'il ferme ses portes dans les mêmes conditions que le Sultana. Même si L'hyppocampe est bien moins décoré, l'ambiance des périodes réservées aux couples y est bien différente: une scène telle que celle que j'ai décrit dans ma note intitulée "le mot magique" n'est pas envisageable en période mixte.

Le mercredi 24/01/2007 à 19:08 par Georges :

Une soirée privée au Moon City... c'était une idée. Dommage. Mon avis, c'est que le Moon City c'est le Sultana2 (comment continuer à blanchir de l'argent tranquillement...).
G.

Le jeudi 25/01/2007 à 00:37 par LetP :

hum... la séduction des femmes (certaines) en pantalon, des hommes (certains) en jean... oui, bien sur, qui peut-dire le contraire ? mais voyez vous, nous venons d'une époque (une planète ?) où l'on s'habillait le dimanche, que ce soit pour aller à la messe ou match de football de l'Amicale Laïque... c'était alors une forme de politesse et un signe d'intégration. Nous avons même vécu dans des milieux où l'on s'habillait pour diner. Bien sur, tout cela est désuet... sourire...

Quand nous disons "dress code" cela demeure très "ouvert" : de la robe noir simple et chic à la tenue extravagante pour les femmes, du look vacancier au genre "mauvais garçon" pour les hommes, en passant par ce que vous voudrez, chacun son élégance*, à condition d'en avoir le souci... qu'à certains cela évoque aussitôt "uniformisation" et uniquement la "parfaite petite salope à la mode du Cap d'Agde" ne nous rassure pas sur l'étendue de leur imagination ; ni sur leur connaissance réelle du Cap.

Ceci dit, malgré tout ce qu'on voudra dire, le vêtement demeure un fort moyen d'intégration et, de tribus en tribus, nous ne voyons pas toute l'originalité qu'on voudrait nous faire croire : beaucoup d'uniformes, beaucoup de signes de reconnaissance, beaucoup de "capital symbolique".

Mais puisque le vêtement est aussi devenu un moyen d'expression personnelle, à l'intérieur de codes finalement preque plus contraignants que par le passé, il n'est pas sans intérêt de chercher à savoir ce que l'on dit de soi et de ses intentions à l'égard des autres à travers sa vêture... Nous avons essayé d'en parler par ailleurs...

Pour notre part, nous sommes d'une grande simplicité, L le plus souvent en robe discrète et en escarpins, en sandales ou en mules, P affectionnant les vêtements clairs, les chaussures de bonne facture et les chemise(tte)s légères, tellement plus agréables à se faire déboutonner. Une précision si vous cherchez à nous identifier : P sera probablement le seul homme à ne pas porter une (fausse) Rolleix de 3 kilos au poignet (ah ! vous avez regardé votre poignet), rien qu'une veille mécanique millésimée années 50 achetée 100 francs sur un vide-grenier.

aux plaisirs
LetP

* nous regrettons tout de même le développement du look "vigile de supermarché", tee-shirt "camouflage" moulant, biscotos plein les manches et boule à zéro... mais les machos ne sont-ils pas de ces hommes incertains dont nous parlons par ailleurs?

Le jeudi 25/01/2007 à 00:44 par Vagant :

Je regarde mon poignet et... Zut ! J'ai perdu ma vieille Seiko au Moon City ! Quelqu'un l'aurait-il retrouvée ?
Ce n'est malheureusement pas une blague...

Le vendredi 26/01/2007 à 16:36 par Comme une image :

@ L & P >
Je suis le premier à fantasmer sur une femme portant talons hauts (notamment les modèles à brides qui titillent particulièrement mon côté fétichiste) & bas. J'encourage, chez mes partenaires, le port de ses habits qui contribuent à érotiser la relation ; de même, j'apprécie qu'on formule des souhaits sur ma propre tenue (le côté "homme objet" ne me dérange pas). Néanmoins, si dans libertinage on entend "liberté" et qu'on la jugule à coup de "dress codes" et autres codes, je trouve ça dommage. Je connais assez peu les clubs échangistes (je compte mes visites sur les doigts d'une seule main) et je les trouve somme toute peu "libres". À des lieux en tout cas de l'imagination débridée de ce que montre (même si ça n'est qu'une chimère) le film "Shortbus". Pour ne citer qu'un exemple, il me semble que le tabou de l'homosexualité masculine y est assez fort, alors que l'homosexualité féminine y est largement encouragée. (Bon, je garde quelques arguments pour déblatérer sur ta note "La planète échangiste".)

Le vendredi 26/01/2007 à 18:07 par LetP :

Mais vous avez tout à fait raison, Comme Une Image !

Nous sommes bien d'accord. Quand nous disions "dress code" vous voulions juste parler d'une incitation à l'élégance... en toute ouverture et en toute liberté. Après tout, même en ensemble "marcel-bermuda-tong", si vous êtes beau, sexy ou séduisant comme un prince, on vous laissera rentrer... et nous ne doutons pas que vous trouverez des fétichistes de la sandale balnéaire ou du maillot à trous à combler (les fétichistes, pas les trous). Du plaisir ! rien que du plaisir ! au-cu-ne-o-bli-ga-tion (relisez nous, bon sang !). Tout ce que nous disons c'est que les "libertins", justement, sont tout ce qu'on veut sauf libres : enfermés dans leurs fantasmes et dans leurs à priori, dans leurs esthétiques, dans leur "littérature", vulgaire ou pédante, dans la fiction. Il n'est que de voir comment ils éludent les questions de fond et démasquent ainsi leur fausse ouverture d'esprit dès que leur narcissisme est irrité.

Entièrement d'accord sur ce que vous dites de leur approche de l'homosexualité masculine, preuve supplémentaire de leur méconnaissance crasse de la sensualité et, sans doute, de leur refoulement. Pour ce qui est de l'homosexualité féminine "encouragée", voire obligée, vous savez ce que nous en pensons si vous nous avez lus sur "Débats d'ébats".

Shortbus : oui, trois fois oui. Ce film nous montre des gens qui s'ouvrent enfin à leur vrai Désir et qui sont "en progrès" vers la vérité (la suffisance) d'eux même. Et c'est pour cela que les scènes d'amour ne sont pas pornographiques (nous en avons parlé sur le blog de Madeleine et Georges qui lui ont consacré plusieurs articles), parce que ces personnes sont en progrès. Et si le lieu n'existe pas, la situation existe, elle, à des lieux du "libertinage moderne".

Et vive les tongs à talon aiguille !

Nous attendons vos déblatérations avec impatience.

bien à vous
LetP

Le vendredi 26/01/2007 à 18:20 par LetP :

pardon : "à des lieues", pas "à des lieux" (sourire... ça doit être contagieux).

Le vendredi 26/01/2007 à 18:40 par Vagant :

J'ai retrouvé ma vieille Seiko ! Elle n'était pas perdue, je l'avais égarée au fond d'une poche. Quel étourdi !
En ce qui concerne le dress-code, je suis heureux de voir que tout le monde s'accorde pour "érotiser" la relation selon ses goûts et ses couleurs qui ne sont pas forcément celles des autres. Il n'est donc pas être nécessaire de se conformer à une mode, mais bien de faire un effort pour suggérer le désir qu'on attend soi-même. En ce qui me concerne, je crois que j'aurais trouvé Madeleine très sexy avec son paréo mouillé !

Le mardi 06/02/2007 à 18:50 par Vintage :

He bien he bien...

Il semble donc que l'affaire des mojitos ratés fasse couler de l'encre !

Voici donc d'où sapherre tirait ses informations, à n'en pas douter.

Et moi qui m'étais pris à rêver d'un croisement inopiné dans les méandres embrumés du hammam (trop froid à mon goût), ou de la chaleur (trop faible aussi, à mon goût toujours, s'entend) du sauna.

Cher Vagant, une bonne idée toutefois de nous être recroisés.

Pour aussi légères que fussent nos conversations, elles n'en ont pas moins été agréables et même misskinapasdepsudo semble être revenu sur certain avis qu'elle avait préalablement.


Quand à vous cher Georges et Madeleine, je serais ravi de vous croiser, cette fois ci en toute connaissance de cause, pour vous expliquer de isu ce que ces deux prénoms accolés ont de si savoureux dans leur évocation pou rmoi...

Bizz
(je me permet une incartade avec la charte, mais j'aime bien ce barbarisme évocateur, qui n'a rien du vol du bourdon, mais plutôt de la mouche sur ta bouche, comme dirait un certain Michel P.).

Le mardi 06/02/2007 à 19:48 par Vagant :

Ravi de te croiser ici, mon cher Vintage ! Cela dit, tu n'as toujours pas répondu à ma question sur mon post "le sauna libertin pour les nuls"...