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21 avril 2007

Les charmes de l'Orient (3)

Qu'à cela ne tienne, ce n'est pas une punition qui empêche un garnement de faire l'école buissonnière, nous avons sauté dans un taxi et j'ai raccompagné Roxane chez elle. J'ai mis en marche le vibreur dans le taxi, pour ne plus l'arrêter. Roxane ne me lâchait pas des yeux. J'ai posé ma main sur sa cuisse. Je sentais le trouble l'envahir de plus en plus. Lorsque nous sommes sortis du taxi, devant chez elle, j'ai marqué un temps d'arrêt. Le dernier scrupule du bourreau des corps avant la mise à petite mort.

- Je crois que c'est le moment où on propose de prendre un dernier verre, lui dis-je entre embarras et excitation ?
- Oui !
- Tu as envie ?
- Oui !

Nous nous sommes embrassés à pleine bouche. Arrivés chez elle, il s'est avéré que nous avions plus envie l'un de l'autre que d'un verre.

- Tu veux quelque chose de spécial, lui ai-je demandé ?
- Non...
- Attends, tu vas voir !

Je lui ai bandé les yeux au milieu de son salon. Je me suis éloigné pour qu'elle ne puisse pas m'attraper avec ses bras tendus, et j'ai commencé à tourner autour d'elle, comme un loup autour de sa proie. De temps en temps, je m'approchais pour lui voler un baiser, une caresse, faire glisser une bretelle de soutien gorge... J'ai cru qu'elle allait défaillir lorsque j'ai commencé à mordiller les tétons dressés de ses seins ronds, lourds, pulpeux et hypersensibles. J'ai ainsi compris pourquoi elle voulait toucher aux seins d'une autre femme. Comme elle me le confirmerait plus tard, elle voulait voir si, d'instinct, elle saurait ainsi donner du plaisir à une autre, en imaginant à tort que toutes les femmes avaient les seins aussi sensibles que les siens. Je l'ai guidée vers sa banquette où je l'ai installée, à quatre pattes. Au contact de ma langue sur ses fesses, j'ai entendu ses soupirs gutturaux accompagner ses frissons de plaisirs, qui se sont mués en gémissements rauques lorsque mes lèvres ardentes ont dardé sa chatte velue.

Dans bien des contes pour enfants issus des siècles révolus, le chaste baiser de la princesse au crapaud transforme instantanément l'immonde créature en prince charmant, ce qui est sans doute une allégorie qui préparait les jeunes esprits féminins aux épousailles de raison avec des vieillards édentés mais bien dotés. Dans ce conte pour adulte, j'ai eu l'impression que mes vicieux baisers transformaient la princesse en fauve lubrique. Ce n'étaient plus des gémissements, mais des rugissements de plaisir que poussaient Roxane. Pendant que je j'embrasais son clitoris de mes baisers enflammés, deux de mes doigts fouillaient son anus, débusquaient le vibreur au travers des fines chairs qui séparaient le bout de mes doigts de son vagin extatique, et, de l'autre main, je tirais malicieusement sur la cordelette de l'œuf vibrant afin d'en accentuer la pression sur son point G. A ce régime, la jouissance n'a pas tardé à la submerger.

Certaines femmes, même en proie aux plaisirs les plus intenses, gardent une certain maintient, une réserve distinguée qui donne l'impression qu'elles ne se donnent jamais complètement. D'autres, au contraire, s'abandonnent sans la moindre retenue. Comme pour la couleur de la peau, des cheveux ou la conformation des vulves, je n'ai aucune préférence quant à ces comportements. J'apprécie toutes ces variétés chez les femmes, selon les circonstances, un peu comme les styles culinaires, du plus raffiné des cocktails parisiens, à la plus solide des cuisines rustiques. La sensualité de Roxane m'est apparue franchement roborative. Dès qu'elle en a eu l'occasion, Roxane a happé mon dard entre ses lèvres, et elle me l'a aspiré avec une telle conviction que je n'ai pas pu me retenir, et j'ai lâché sans en jouir d'amples giclées de sperme sur ses seins. Nous l'avons l'étalé sur sa généreuse poitrine, avant que je la pénètre furieusement, ses jambes potelées sur mes épaules, pour jouir d'elle à mon tour.

medium_feline.jpgAprès quelques minutes d'un tendre repos, je m'apprêtais à m'éclipser quand le fauve Roxane m'a fait comprendre qu'elle ne l'entendait pas de cette oreille. Ses chauds baisers n'ont pas tardé pas à réchauffer mes ardeurs, et c'est en me tenant littéralement par la queue qu'elle m'a reconduit vers la banquette. Roxane avait pris les choses en main au sens propre comme au figuré. Elle m'a allongé sur le dos, mes cuisses bien écartées, et sans me quitter des yeux, elle a fait glisser sa langue de la pointe vermillon de mon glaive jusqu'au pommeau de mes couilles rasées de près. Puis, tout en me branlant furieusement, elle s'est attaquée à mon petit trou et elle l'a soumis à de frénétiques va-et-vient. Je naviguai entre douleur et plaisir. Je lui ai demandé combien de doigts elle m'avait enfoncé. "Un seul, m'a-t-elle répondu, mais à fond! Tu en veux un autre ?" J'ai décliné l'offre. Raide et dur, mais incapable de jouir ainsi, je lui ai proposé de me chevaucher. Elle a accepté avec une moue carnassière. Elle s'est allongée de tout son long sur mon corps dans une position que je ne connaissais pas, face à moi, les jambes à peine écartées, semi fléchies, de sorte qu'elle parvenait à frotter son clitoris sur mon pubis alors que je la pénétrais. Il m'était cependant totalement impossible de bouger, et j'aurais été réduit à une totale passivité si elle ne m'avait pas demandé de lui torturer les seins. "Prends mes tétons dans ta bouche ! Suces-les ! Têtes-les ! Oui ! Tu peux les mordiller ! Les deux en même temps ! Fais-moi mal !" J'ai malmené ses tétons turgescents, sans toutefois les blesser, tout en lui claquant violemment les fesses de la paume de mes mains. Alors, de sa voix grave aux accents chargés d'orient, elle a soufflé entre deux râles: "Ca vient! Ca va être forrrrrt!". La violence de l'orgasme nous a submergés en même temps.

Je n'ai jamais revu Roxane. Nous avons correspondu un moment, de plus en plus rarement, pour finir par nous perdre de vue totalement. Mais il me reste de cette magnifique aventure un goût, celui des charmes de l'Orient.

Commentaires

Le samedi 21/04/2007 à 16:43 par Lib :

Dis donc Vagant, quelle santé tu as, mon garçon...Un seul mot d'elle et tu éjacules. Trois fois en quelques heures, si j'ai bien compté. Personnellement, un homme aussi attentionné et aussi erectile, moi, je le revois. Mais bon.

Sinon, j'aime bien tes contes pour adultes. Surtout le samedi après midi en rentrant épuisée du boulot. ça revigore.

Le dimanche 22/04/2007 à 08:35 par France B :

De bon matin, c'est bien aussi ;)

Le dimanche 22/04/2007 à 10:22 par C&M :

Je comprends cette envie de toucher des seins de femme, je la partage...

Le dimanche 22/04/2007 à 15:00 par Comme une image :

Quelle aventure diablement excitante !
Comme Lib, je me demande par quel mystère cette aventure n'a pas eu de suite...

Le lundi 23/04/2007 à 00:01 par Vagant :

Ma chère Lib, il me semble entendre entre les lignes de ton commentaire un timbre légèrement narquois, je me trompe ? D'abord, où donc as-tu lu qu'un seul mot d'elle m'aurait fait éjaculer ? Ce serait là un cas flagrant d'éjaculation précoce dont, Dieu merci, je ne souffre pas. Roxane m'a prodigué bien des douceurs avant que je lâche ma semence sur ses seins. Quant à ton compte, il est bon. Trois éjaculations en trois heures, les deux premières coup sur coup, la dernière sur la fin. Dans de bonnes conditions, avec une partenaire aussi excitante que la jolie Roxane, il n'y a là rien de bien extraordinaire. J'ai déjà vu d'autres hommes autrement plus performants !

CUI, tu n'as pas bien lu mon second épisode: Le lendemain, la jolie Roxane s'est envolée pour les USA! Elle y a fait d'autres rencontres et nous nous sommes perdus de vue.

Madame B, je suis surtout de l'après-midi.

C&M, n'essayez pas d'assouvir vos envies au Hustler Club: On n'y touche qu'avec les yeux, mais parfois les paupières il est vrai...

Le lundi 23/04/2007 à 15:52 par Lib :

Quand j'ai lu dans ta réponse " quant à ton compte, il est bon", je me suis dit "aïe, il va me le régler" mais non. :-) ...Je n'aurais pas dit "narquois", plutôt taquine... et aussi taquine que je sois avec toi, sache que c'est un plaisir de te lire.
Sinon, tu t'en doutes, je n'ai pas de controle parental, donc, je ne peux t'aider sur ta dernière note.

Le mardi 24/04/2007 à 20:46 par Vagant pour Lib :

Comment as-tu pu penser que j'imagine te régler ton compte ? Je ne suis pas équipé d'un gros calibre prêt à décharger sur toi en rafales ! Enfin Lib, pour qui me prends-tu ?

Le samedi 07/07/2007 à 01:23 par roxane :

je ne suis pas cette roxane là et je sais bien que celui dont je parle sur mon blog ne s'appelle pas vagant mais en tout cas, j'ai bien aimé ce récit. les autres aussi d'ailleurs...;-)

je reviendrai plus souvent.

Le mercredi 22/08/2007 à 17:23 par En passant :

La phrase suivante:
"Pendant que je j'embrasais son clitoris de mes baisers enflammés..."
et tout le paragraphe qui suit est commun à un autre, issu du billet "Equations à plusieurs inconnues (7)"
Cher Vagant, vous avez cédé aux facilités du copié-collé ... cela sème le doute sur la véracité de ces défis.
Mais après tout, qu'importe, j'ajouterai que j'ai trouvé tout cela fort émoustillant par ailleurs.

Le mercredi 22/08/2007 à 17:57 par Vagant pour En passant :

Très bien vu ! Je vais essayer de reformuler tout ça pour éviter cette sensation de déjà vu d’autant plus naturelle que j’avais fait exactement la même chose à Roxane qu’à Léone ! Je modifierais plutôt « Equations à plusieurs inconnues », voyons voir…

« Tandis que ma langue dardait son clitoris par devant, je la pris à revers : je lui enfonçai deux doigts par derrière pour sentir les vibrations de l’appareil au travers de ses chairs embrasées, et je décidai de les malmener davantage pour son plus grand plaisir. En tirant sur la cordelette de l’œuf vibrant, je le maintins à l’entrée de son vagin, là où il était le plus sensible. Prise de toutes parts, Léone ne put retenir ses feulements de jouissance. »

C’est mieux ? En tous cas, je vous remercie pour votre lecture attentive. N’hésitez surtout pas à me prévenir en cas de redite, fautes d’orthographe, ou autres erreurs… Quant à la véracité de ce récit, vous pouvez vous dire que ce n’est qu’une fantasmagorie si cela peut vous faire plaisir, parce que quand il y a de la gêne… ;)